Indiscrétion, par Ibrahims Kone
Un article de Caverne des 1001 nuits.
(Différences entre les versions)
| Version du 26 juillet 2007 à 10:46 (modifier) 1001nuits (Discuter | Contributions) m (a renommé Indiscrétion, de Ibrahims Kone en Indiscrétion, par Ibrahims Kone) ← Différence précédente |
Version actuelle (4 août 2007 à 09:56) (modifier) (défaire) 1001nuits (Discuter | Contributions) |
||
| (Une révision intermédiaire masquée) | |||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
| - | :Pourquoi parles-tu toi qui a vu ma nudité | ||
| - | :Pour toi mes belles parures ne seront que couvertures | ||
| + | :Pourquoi parles-tu toi qui a vu ma nudité | ||
| + | :Pour toi mes belles parures ne seront que couvertures | ||
| :Jamais tu ne réussiras à détourner mes amants excités | :Jamais tu ne réussiras à détourner mes amants excités | ||
| - | |||
| :Car chacun d’eux imagine l’or sous cette peinture | :Car chacun d’eux imagine l’or sous cette peinture | ||
| + | |||
| :Pourquoi tenter de décrire ma laideur | :Pourquoi tenter de décrire ma laideur | ||
| - | |||
| :Laisse le soin à chacun de découvrir ma pestilence | :Laisse le soin à chacun de découvrir ma pestilence | ||
| - | |||
| :Leurs narines sont bouchées à forces d’abstinences | :Leurs narines sont bouchées à forces d’abstinences | ||
| + | :Et nos conversations nocturnes ne sont que faveur | ||
| - | :Et nos conversations nocturnes ne sont que faveur | ||
| :Certains flirtent avec moi depuis de longues années | :Certains flirtent avec moi depuis de longues années | ||
| - | |||
| :C’est moi qui leur ai montré les plaisirs et la jouissance | :C’est moi qui leur ai montré les plaisirs et la jouissance | ||
| - | |||
| :Ni tes cris, ni tes cors ne leur enlèveront ce voile fané | :Ni tes cris, ni tes cors ne leur enlèveront ce voile fané | ||
| + | :Je suis leur mère, je suis leur conscience en puissance | ||
| - | :Je suis leur mère, je suis leur conscience en puissance | ||
| :Je suis la somme de leurs consciences | :Je suis la somme de leurs consciences | ||
| - | |||
| :Leurs sangs coulent dans mes veines | :Leurs sangs coulent dans mes veines | ||
| - | |||
| :Et chaque jour ils m’arrosent davantage de sang et de science | :Et chaque jour ils m’arrosent davantage de sang et de science | ||
| - | |||
| :Je suis la plus puissante rivale de la reine. | :Je suis la plus puissante rivale de la reine. | ||
| + | |||
| :Ne t’avais-je pas mis en garde contre ton arrogance ? | :Ne t’avais-je pas mis en garde contre ton arrogance ? | ||
| - | |||
| :Ne t’avais-je pas dis que tu en ferais des outrances ? | :Ne t’avais-je pas dis que tu en ferais des outrances ? | ||
| - | |||
| :As-tu fini de dévoiler la reine ta nouvelle concubine ? | :As-tu fini de dévoiler la reine ta nouvelle concubine ? | ||
| - | |||
| :Le chemin de sa demeure est-il sans épine, | :Le chemin de sa demeure est-il sans épine, | ||
| + | |||
| :Certains veulent voir la reine de leurs yeux | :Certains veulent voir la reine de leurs yeux | ||
| - | |||
| :Ils se moquent de ce que l’oreille peut bien entendre dans cette quête | :Ils se moquent de ce que l’oreille peut bien entendre dans cette quête | ||
| - | |||
| :La vision n’est-elle pas personnelle dans ce jeu ? | :La vision n’est-elle pas personnelle dans ce jeu ? | ||
| - | |||
| :Oui tu me diras certes que l’œil, comme l’oreille appartient à la tête | :Oui tu me diras certes que l’œil, comme l’oreille appartient à la tête | ||
| - | |||
| :Pour eux la reine ne saurais être la même pour tous | :Pour eux la reine ne saurais être la même pour tous | ||
| + | :Alors pourquoi leur montrer que tu as vu mes dessous ? | ||
| - | :Alors pourquoi leur montrer que tu as vu mes dessous ? | ||
| - | {{Kone}} | + | {{Kone|Vertige|Précédent|L'ombre et le fou|Suivant}} |
Version actuelle
- Pourquoi parles-tu toi qui a vu ma nudité
- Pour toi mes belles parures ne seront que couvertures
- Jamais tu ne réussiras à détourner mes amants excités
- Car chacun d’eux imagine l’or sous cette peinture
- Pourquoi tenter de décrire ma laideur
- Laisse le soin à chacun de découvrir ma pestilence
- Leurs narines sont bouchées à forces d’abstinences
- Et nos conversations nocturnes ne sont que faveur
- Certains flirtent avec moi depuis de longues années
- C’est moi qui leur ai montré les plaisirs et la jouissance
- Ni tes cris, ni tes cors ne leur enlèveront ce voile fané
- Je suis leur mère, je suis leur conscience en puissance
- Je suis la somme de leurs consciences
- Leurs sangs coulent dans mes veines
- Et chaque jour ils m’arrosent davantage de sang et de science
- Je suis la plus puissante rivale de la reine.
- Ne t’avais-je pas mis en garde contre ton arrogance ?
- Ne t’avais-je pas dis que tu en ferais des outrances ?
- As-tu fini de dévoiler la reine ta nouvelle concubine ?
- Le chemin de sa demeure est-il sans épine,
- Certains veulent voir la reine de leurs yeux
- Ils se moquent de ce que l’oreille peut bien entendre dans cette quête
- La vision n’est-elle pas personnelle dans ce jeu ?
- Oui tu me diras certes que l’œil, comme l’oreille appartient à la tête
- Pour eux la reine ne saurais être la même pour tous
- Alors pourquoi leur montrer que tu as vu mes dessous ?
| Navigation Précédent - Suivant |

