Le compte à rebours, par Ibrahims Kone
Un article de Caverne des 1001 nuits.
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Version actuelle
- Lorsque tout se tait autour de toi,
- Que le rossignol ne se pose plus sur ton toit,
- Que les rayons de soleil te donnent froid,
- Alors s’installent dans ta vie le vide et l’effroi.
- Lorsque le soleil devient sombre en plein jour,
- Que les étoiles obscurcissent ton séjour,
- Que tu ne distingues plus les rires dans la cour,
- Alors s’installe au fond de toi le compte à rebours.
- Tic-tac, tic-tac la montre ou la pendule,
- Le temps n’a que faire des vils incrédules.
- Il te happe comme l’épervier le poussin.
- Et s’envole avec ta mémoire à dessein.
- Tic-tac, tic-tac encore un dernier « tac » et c’est la fin.
- Heureux celui sentant la fin à lui venir,
- S’est mis à l’ouvrage pour ne pas frémir.
- Que puis-je moi le passant, si ce n’est d’y souscrire ?
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