Le compte à rebours, par Ibrahims Kone
Un article de Caverne des 1001 nuits.
(Différences entre les versions)
Version du 19 août 2007 à 09:44 (modifier) 1001nuits (Discuter | Contributions) (publish) ← Différence précédente |
Version actuelle (29 avril 2008 à 20:48) (modifier) (défaire) 1001nuits (Discuter | Contributions) m |
||
Ligne 23 : | Ligne 23 : | ||
- | {{Kone|Devenir Homme|Précédent| | + | {{Kone|Devenir Homme|Précédent|J'ai compris|Suivant}} |
Version actuelle
- Lorsque tout se tait autour de toi,
- Que le rossignol ne se pose plus sur ton toit,
- Que les rayons de soleil te donnent froid,
- Alors s’installent dans ta vie le vide et l’effroi.
- Lorsque le soleil devient sombre en plein jour,
- Que les étoiles obscurcissent ton séjour,
- Que tu ne distingues plus les rires dans la cour,
- Alors s’installe au fond de toi le compte à rebours.
- Tic-tac, tic-tac la montre ou la pendule,
- Le temps n’a que faire des vils incrédules.
- Il te happe comme l’épervier le poussin.
- Et s’envole avec ta mémoire à dessein.
- Tic-tac, tic-tac encore un dernier « tac » et c’est la fin.
- Heureux celui sentant la fin à lui venir,
- S’est mis à l’ouvrage pour ne pas frémir.
- Que puis-je moi le passant, si ce n’est d’y souscrire ?
Navigation Précédent - Suivant |