Un murmure, par Ibrahims Kone
Un article de Caverne des 1001 nuits.
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| - | :Pourquoi es tu si triste et désemparée belle Dame ? | ||
| - | :Du fond de ton cœur l’amertume te tire – t – elle des larmes ? | ||
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| :La joie et la félicité ont elle été emportées par l’orage ? | :La joie et la félicité ont elle été emportées par l’orage ? | ||
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| :Les hypocrites ont-ils fini par te faire ombrage ? | :Les hypocrites ont-ils fini par te faire ombrage ? | ||
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| :Pourquoi es tu si sombre et pleine de regret ? | :Pourquoi es tu si sombre et pleine de regret ? | ||
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| :As-tu oublié les jours où la joie dévoile ses secrets ? | :As-tu oublié les jours où la joie dévoile ses secrets ? | ||
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| :Serait-ce un de ces jours où tout te semble égal, | :Serait-ce un de ces jours où tout te semble égal, | ||
| + | :Où la lumière s’éteint et le silence s’installe ? | ||
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| - | :Prête-moi ton ouie que j’y murmure ces paroles | ||
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| :Simples et banales, elles te sembleront drôles | :Simples et banales, elles te sembleront drôles | ||
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| :Pourtant c’est elles qui me permettent te rires | :Pourtant c’est elles qui me permettent te rires | ||
| + | :Lorsque je me sens vide et sans aucun avenir | ||
| - | :Lorsque je me sens vide et sans aucun avenir | ||
| :Regarde cette lumière, c’est le sourire du soleil | :Regarde cette lumière, c’est le sourire du soleil | ||
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| :Respire cette fraîcheur, c’est l’halène du vent | :Respire cette fraîcheur, c’est l’halène du vent | ||
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| :Puis porte ton regard sur le beau soleil au levant | :Puis porte ton regard sur le beau soleil au levant | ||
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| :Et enivre-toi du souffle du vent au réveil | :Et enivre-toi du souffle du vent au réveil | ||
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| :Plus jamais on ne te verra en pleurs | :Plus jamais on ne te verra en pleurs | ||
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| :Puis jamais la tristesse n’envahira ton cœur | :Puis jamais la tristesse n’envahira ton cœur | ||
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| :Car jamais plus tu ne te sentiras malheureuse | :Car jamais plus tu ne te sentiras malheureuse | ||
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| :Puisqu’il en faudra si peu pour te rendre heureuse. | :Puisqu’il en faudra si peu pour te rendre heureuse. | ||
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Version actuelle
- Pourquoi es tu si triste et désemparée belle Dame ?
- Du fond de ton cœur l’amertume te tire–t– elle des larmes ?
- La joie et la félicité ont elle été emportées par l’orage ?
- Les hypocrites ont-ils fini par te faire ombrage ?
- Pourquoi es tu si sombre et pleine de regret ?
- As-tu oublié les jours où la joie dévoile ses secrets ?
- Serait-ce un de ces jours où tout te semble égal,
- Où la lumière s’éteint et le silence s’installe ?
- Prête-moi ton ouïe que j’y murmure ces paroles
- Simples et banales, elles te sembleront drôles
- Pourtant c’est elles qui me permettent te rires
- Lorsque je me sens vide et sans aucun avenir
- Regarde cette lumière, c’est le sourire du soleil
- Respire cette fraîcheur, c’est l’halène du vent
- Puis porte ton regard sur le beau soleil au levant
- Et enivre-toi du souffle du vent au réveil
- Plus jamais on ne te verra en pleurs
- Puis jamais la tristesse n’envahira ton cœur
- Car jamais plus tu ne te sentiras malheureuse
- Puisqu’il en faudra si peu pour te rendre heureuse.
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