Trucs de bouse, par Anatole Swadock
Un article de Caverne des 1001 nuits.
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Version du 17 janvier 2010 à 16:23
Extrait de la préface de Gaston-Norbert Ubrab
« La tâche qui m’a été confiée est relativement difficile comme vous pouvez le deviner. En effet, présenter les oeuvres d’un inconnu est une gageure que dans ce cas, je m’enorgueillis de remplir. Ma qualité d’homme de lettres, ainsi que ma réputation, pourront, je l’espère, donner un nouvel élan à la notoriété déjà naissante d’Anatole Swadock.
La première fois que j’ai rencontré Swadock, dans un bar perdu du cinquième arrondissement, nous étions devant un verre de Guinness. L’éditeur avait voulu organiser cette rencontre afin que je prépare l’écriture d’une préface aux premières poésies de Swadock intitulées « Trucs de bouse ».
Malgré son jeune âge et son manque de qualifications ou de titres littéraires, nous pensons que Swadock s’est tourné précocement vers la poésie. En effet, tout laisse à penser qu’il envisage la Poésie - avec un grand P - comme le moyen d’expression nécessaire pour rénover le cadre de l’art écrit de la fin du XXème siècle. Sa vision futuriste de la langue où se mêlent archaïsmes, néologismes et mots de tous registres, fait de son oeuvre un ensemble fort, vrai, désespéré par moments, emprunt à la fois d’une préoccupation réelle de se situer dans la continuité des grands poètes du XXème siècle (on citera Zyklus coordonné où l’on sent que Swadock est gêné par l’absence de mots servant à exprimer la vérité). Sa témérité poétique va parfois, au détour d’une phrase abrupte, jusqu’à verser dans un érotisme discret quoique intense. [...] »