Mon amante, par Ibrahims Kone
Un article de Caverne des 1001 nuits.
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Version du 27 juillet 2007 à 20:02
- Dès que je la vis tout en moi devint désir ;
- Je sentis une chaleur intense qui me fit frémir ;
- Son indescriptible beauté m’enleva toute pudeur ;
- Dès ce jour la belle devint l’amante de mon cœur.
- Nos rencontres coquines se faisaient loin des regards ;
- Elles étaient pleines de caresses, d’effusions et d’étreintes.
- Loin des indiscrets, nos flirts intenses et sans contraintes ;
- Nous avions conscience que ce jeu méritait des égards.
- Elle se glissait furtivement sous mon drap l’impudique,
- Elle me faisait emprunter toutes les voies de l’infidélité
- Et ne s’endormait que lorsque le jour apportait sa félicité.
- Hélas, pour ce beau scénario il fallait une fin tragique.
- Il fallait que je l’abandonne au profit d’un autre bonheur ;
- Quel bonheur pouvais-je avoir loin de ses insinuations ?
- Quelle joie y a-t-il à vivre si elle quitte mon cœur ?
- Cette tendre amante, éternelle concubine, ma belle inspiration !
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