Animalcules, par Anatole Swadock
Un article de Caverne des 1001 nuits.
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Version du 25 février 2011 à 08:28
Extrait de la préface de Gaston-Norbert Ubrab
« Dans les années 1990, Swadock le poète maudit errait dans la grande ville quand nous nous retrouvâmes. Il était un peu hagard et perdu, sentait l'alcool, et ses mots disaient le contraire de ce qu'il paraissait ressentir. Il me parla alors de poésies qu'il gardait dans des placards, entre quelques livres de grands poètes qu'il vénérait. Il semblait croire, à cette époque, que la présence de livres de littérature allait « bonifier » ses poésies, « comme un vin se bonifie en tonneaux, me dit-il, par osmose ». C'est de cette période troublée que nous viennent ces trois recueils de poèmes, recueils que je suis fier de vous présenter aujourd'hui.
Animalcules fut écrit entre 1995 et 1999, Dégoûts entre 1992 et 1993 et ses Souvenirs datent de 1996, une année noire pour le poète. Aujourd'hui encore, il parle de ces poèmes comme d'« accidents de parcours », de « vomissures », comme si certains de ceux-là n'étaient encore que des témoignages des blessures passées. Mais le Swadock des Trucs de bouse est bien loin. Envolés son optimisme, sa provocation créatrice, ses jeux alcoolico-poétiques. Disparu aussi le Swadock provocant, bref et percutant des Petits poèmes géologiques. C'est un Swadock plus intime, meurtri que nous découvrons dans ces pages, un Swadock qui prend racine dans la vérité difficile du monde et dans l'inévitable comparaison de ses pulsions avec les choix de ceux qui l'entourent. [...] »