Quatrains d'al-Zeituni, livre IV, V
Un article de Caverne des 1001 nuits.
(Différences entre les versions)
Version du 23 juillet 2007 à 21:23
C’est dans Tes bras que je referme mes blessures
Elles sont maintenant source de lumière
Avant de n’être plus et de Te laisser toute la place
O Bien-Aimé Omniscient, brûle le bois sec de mon âme !