Sales temps, par Ibrahims Kone
Un article de Caverne des 1001 nuits.
Alzeituni (Discuter | Contributions)
(Nouvelle page : J’hésite, tout chancelle et bascule dans le noir ; Une succession d’images sournoises, illusions indélicates ; Il fait vent dans ma conscience endolorie de stigmates ; Un ve...)
Différence suivante →
Version du 25 juillet 2007 à 09:16
J’hésite, tout chancelle et bascule dans le noir ;
Une succession d’images sournoises, illusions indélicates ;
Il fait vent dans ma conscience endolorie de stigmates ;
Un vent glacial et froid, frais frison frénétique du soir ;
La lampe de ma mémoire frémi, elle va s’éteindre ;
Longtemps sous ce temps de pendu, seul, j’ai dû attendre
Je ne sais quoi de divin qui ranime les souvenances ;
Rien, même pas une injure, un cri sans conséquences ;
Le silence, la sentence, la potence, la repentance
Vois, mon cœur comme ils les réclament d’une voix ;
Ces vauriens d’un obscure artiste sans foi, sans voie
La belle époque du repos éternel a- t-elle prit ces distances ?
Ils ne me répondront pas car comme toi ils dorment ;
Plongé dans des assertions sans racines certaines
La croix ou le croissant sous leurs ignorances mondaines ;
Sale temps pour tous les Jésus pris dans leurs normes.
Navigation [[{{{1}}}, par Ibrahims Kone|{{{2}}}]] - [[{{{3}}}, par Ibrahims Kone|{{{4}}}]] |